MymyArtzone's avatar
Avant je ne savais pas ce que c'était car je me focalisais sur un seul projet en croyant que ça allait être celui de ma vie ( LOL )
Maintenant j'ai cette mauvaise manie des artistes d'avoir des idées qui pompent comme ça, d'un coup sans demander. Je suis pas encore à la dizaine de projet parce que je me restreins mais depuis que je suis sortie de mon école, j'en ai déjà 4 sous le bras ! 5 avec ma fiction mais je l'ai finie cette année. J'ai tout de même mis 5 ans et demi pour écrire une vingtaine de chapitres. Mais je ne regrette pas. Des idées pas forcément bonnes prévues au début ont fini par virer, pour en développer de meilleures.
Houlà, moi j'ai abandonné les projets de 200 pages XD Je me suis rendu compte que je n'étais pas faite pour cette longueur interminable.
Atelierdereve's avatar
Perso, c'est mon grand problème, je suis bien plus à l'aise pour inventer des histoires longues, voire très longues, que des histoires courtes. En BD, c'est un sérieux handicap ! XD

Les projets qu'on concrétise sont le meilleur moyen de progresser, je le vois bien avec Sweet Suicide, ça m'a fait progresser (bon, pas autant que je l'aurais voulu, mais chuuut) de faire des pages et des pages de BD. Pour le coup, j'ai accepté l'idée que cette histoire serait pleine de défauts, alors ça va. Mais quand je vois comment le projet s'est étoffé depuis sa première version, je suis vraiment impressionnée. J'ai l'impression que plus on consacre du temps à un projet, plus il s'enrichit et devient meilleur. Je le vois pour la fic que j'ai commencé à publié (basée sur une idée qui date d'il y a dix ans, j'ai commencé à l'écrire il y a deux ans environ, et j'ai recommencé deux fois le début avant d'être contente de moi.)

Du coup, maintenant j'accepte beaucoup mieux l'idée que certains projets ont besoin de maturité, alors je plante des graines et je les laisse pousser dans un coin de ma tête, aussi longtemps qu'il le faudra. Et pendant ce temps j'en fais d'autres pour lesquels les imperfections ne me paraissent pas graves.