J'ai une faiblesse particulière pour la série des Elder Scrolls : le souvenir de l'émerveillement et du sentiment de liberté éprouvés lorsque, pour la première fois, j'ai quitté les égouts de la prison impériale au début d'Oblivion pour me retrouver face au ciel étoilé et à la majesté sereine du paysage extérieur ne s'est jamais effacé. Bien des jours, des mois et des années nous séparent de cette première nuit cyrodiilienne, mais son évocation suffit encore à atténuer, pour un temps, le grondement du monde qui nous entoure.
Dragon Age : Origins est également un bon souvenir. Dragon Age II... mieux vaut cependant ne pas détourner le fil de commentaires de ton dessin (Zelda pourrait en prendre ombrage, après tout) par une discussion sur Dragon Age II ! Et j'attends toujours, hélas, de trouver le temps nécessaire pour faire des progrès significatifs dans Inquisition (sans doute puis-je espérer arriver au terme du jeu lorsque sortira The Elder Scrolls VI, à ce rythme-là). Le temps est devenu une denrée rare...